www.sttx.fr

bonjour,
Dans le cadre de mn travail (je suis technicien longs rails soudés a la ratp), je dois mener une action sur les techniques de bourrage, j'aurai besoin de savoir quelle sont les problème les plus réccurents sur les bourreuses en générale.
Je dois ensuite mener une action comparative et économique surtrois axes:
1- les qualités et defauts du bourrage manuel
2- qualités et défauts du bourrage mécanique lourd
3-et pour finir je dois présenter une bourreuse (caleuse type PKS 1) pour la reprise de nivellement ponctuel (joint, JIC, nivellement ponctuel)

Si des personnes peuvent me renseigner ou m'aiguiller vers des sites je leurs seraient très reconnaissants.
Merci

salut,

j'ai eu beau ouvrir les classeurs, j'ai rien trouvé en réponses a tes questions, cela dis je vais y reflechir.

a+

salut, merci deja pour ta réponse, chaque renseignement pourra m'etre utile.

Désolé, Chris, rien non plus de mon côté

Bonsoir Chris,
Juste une question, sur quel type de plancher, béton, bois?

C'est un très vaste sujet le BML...
Je pourrais t'apporter quelques réponse, mais qaund j'aurais un peu plus de temps.

Les problèmes les plus fréquent sur les bourreuses, y’a pas de problème avec un entretien adapter, voir des problèmes hydraulique

Bourrage manuel, plus précis dans les zone à traiter, plus long, moins rapide, plus cher si tu compare à une bourreuse, pratiquement disparu, au moins en suisse
Bourrage mécanique, rapide, précision moyenne (mais les technique s’améliore), vibre jusqu’au fond d’encaissement, chère mais nécessaire, nécessite le passage d’une brosse et peut-être d’un régalage (donc plusieurs engin, sauf si la bourreuse est équiper de brosse…)

J’espère avoir pensé à tous, bonne chance pour ton travail

Salut,
Florian à raison, le bourrage manuel tel qu'on le connait soit avec des jackson soit avec des battes est de plus en plus obsolète. D'ailleurs on ne peut pas parler proprement de bourrage mais plutot de calage puisqu'on n'arrive pas vraiment à vibrer jusque sous la traverse. Il ne faut pas mettre de côté que les groupes de bourrage vibrent à une certaine fréquence de façon à permettre cette bonne cohésion du ballast, ce que tu n'arriveras pas à faire manuellement. Tu n'auras jamais de façon manuelle une telle force de plongée qu'une machine...
De façon générale lorsque tu fait du bourrage manuel, ce n'est qu'une phase de transition, à la fin tu finis pratiquement toujours par passer une bourreuse lourde pour assurer la finition.

Espérant que nous aurons répondu à ton attente, si tu pouvais nous tenir au courant de l'avancement de ton action au sein de la RATP.

bonjour,

la distance traitée par une bourreuse mecanique n'a rien a voir avec un bourrage manuel. l'inconvient du bourrage mecanique, c'est que ça genere de la poussiere ce qui n'est pas negligeable dans les tunnels. Il faut trouver les engins capable de prendre les courbes dont les rayons sont très faibles et d'un petit gabarit. je vois mal une 108 475 dans paris! Sur le reseau RER, il n'y a pas de probleme car on revient dans des caracteristiques SNCF.
En terme de qualité de bourrage, les tolerances sont plus grande que sur une voie TGV ,par exemple .

Merci beaucoup pour ces réponses qui m'ont sont d'une grande utilité dans l'avancement d mon projet. Juste pour répondre à Alban c'est une utilisation sur plancher bois et béton. En attendant si quelqu'un possède une photo d'une bourreuse de marque Plasser & Theurer type UNIMA 1 cela pourrait m'avancer. Encore merci pour vos réponse.

Bonsoir Chris,
Unima 1 je ne sais pas si j'ai ça; dans l'immédiat, j'ai pu trouver:
"CALOU"


Bourreuse de 4e niveau de la région SNCF de Limoges:

Pourriez vous me dire si dans les entreprises le bourrage manuel est encore beaucoup utilisé e si oui a uel hauteur, merci.

Salut
Comme l'indique Pascal, ce type de bourrage se raréfie donc trés peu utilisé (et oui technologie oblige .... ) on utilise encore les jackson à des endroits bien précis sur les appareils mais aprés la bourreusse : pointes et talons ou aiguilles je ne sait plus excatement ....

Bonsoir,
Info supplémentaire, j'ai eu l'occasion de demander à un chef de brigade voie la fréquence d'utilisation de ce type de matériel:
comme les moyens de bourrage lourd de la SNCF sont mutualisés au niveau des régions, les brigades voies ne font appel à eux que pour de grosses opérations, ou des opérations étendues (une reprise de joints sur une grande longueur nécessite un EMV...). Pour les opérations de remplacement de traverses, la caleuse fait partie intégrante de la suite MRT; l'équipe (train parc) est ratachée à un ELOG (établissement logistique) et dispose de tous les moyens nécessaires...

Cependant ces trois types d'opérations ne sont pas le quotidien des brigades voies (d'autant plus qu'elles sont en charge d'un secteur à faible trafic); donc le bourrage manuel à encore sa place pour des opérations courantes de petit entretien (notamment dans les triages, voies de dépots et d'ateliers...). Le bourrage lourd étant facturé au brigade, elles n'y font appel qu'en cas de besoin, par conséquent elle se contente de leur propre outillage (parfois hors d'âge): le cric, la batte à bourrer ou la petite Jackson restent donc d'actualité.

Pour illustration: lors du remplacement d'un frein de voie:
http://www.vecchietti.fr/forum/viewtopi ... 3&start=15

et après un déraillement, pour rendre la voie au plus vite:
http://www.trains-jura.net/2000/poligny/niveau.htm

Sans oublier l'utilisation du soufflage avec pelles doseuses sur certaines petites lignes...

c'est juste.
en suisse on utilise encore souvent le bourrage manuel car l'intervention d'une bourreuse coute cher. l'utlisation des jaksons a pratiquement disparu, mais les "wacker" sont utilisé lors du changement de traverses ou de rails court pour caler la voie.

la disparition des bourreuse matisa A20B force encore l'appel au petite bourreuse lors de petite opération.