Bonjour,
Voici le compte-rendu qu'en a fait le journal LE PARISIEN :
Chelles : le public a découvert la « fabrique ferroviaire » de TSO
>ÃŽle-de-France & Oise>Seine-et-Marne|Julie Olagnol| 13 mai 2018, 19h46
Chelles, ce dimanche. L’entreprise TSO organisait des portes ouvertes pour le grand public avec au programme un tour de locotracteur. LP/Julie Olagnol
Laser game dans les ateliers, démonstrations et baptêmes de conduite sur engins de chantier étaient proposés gratuitement par l’entreprise Travaux du Sud-Ouest.
L’entreprise Travaux du Sud-Ouest (TSO) organisait ce dimanche la Railway Factory, des portes ouvertes dans le cadre d’un week-end destiné au ferroviaire à Chelles. La filiale du groupe de travaux publics Nouvelles générations d’entrepreneurs (NGE) est spécialisée dans la pose et l’entretien des voies ferrées.
Chelles, ce dimanche. A Chelles, le siège social de TSO accueille entre 300 et 400 employés. LP/Julie Olagnol
« TSO est un peu la Cendrillon du ferroviaire. Nous travaillons la nuit et le week-end », introduit Halinh Tran Bréchot, une représentante de l’entreprise de 3 000 salariés. A Chelles, le siège social concentre les fonctions support et trois ateliers de maintenance, soit 300 à 400 employés.
Chelles, ce dimanche. Petits et grands pouvaient tester d’imposantes machines transportées spécialement pour l’occasion. LP/Julie Olagnol
Petits et grands pouvaient tester d’imposantes machines transportées spécialement pour l’occasion. Jacques, retraité cheminot d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), voulait tester le baptême de conduite en locotracteur.« TSO était déjà là lorsque je travaillais à la SNCF. Je n’avais jamais vu de près la bourreuse (NDLR : une imposante machine qui sert à lever et dresser les voies) en raison des conditions de sécurité des chantiers », indique-t-il.
Il était aussi possible de monter dans la nacelle caténaire à 10 m de haut ou de faire un laser game gratuit dans les ateliers de TSO. Elodie est venue de Pontault-Combault avec ses deux garçons. « Les petits aiment les trains. C’est une bonne chose que les sites industriels ouvrent leurs portes », estime la maman.
TSO a comme clients la SNCF et la RATP et a gagné récemment le premier lot de la ligne 16 du Grand Paris Express en groupement avec Eiffage. « Nous nous diversifions dans le marché urbain car de plus en plus d’agglomérations construisent un tramway. C’est un levier à l’international », poursuit Halinh Tran Bréchot.
Parallèlement, se déroulait l’exposition de modélisme ferroviaire du Rail club du Pays de Meaux avec une cinquantaine d’exposants et près de 1 150 visiteurs samedi. Une navette mise à disposition par l’Association pour le musée des transports urbains, interurbains et ruraux (Amtuir) desservait tous les sites, avec arrêt… à la gare de Chelles.
« Les ateliers de TSO ont un accès direct au réseau ferré national. Il y avait 3 500 habitants à Chelles en 1900. La ville s’est développée grâce à l’arrivée du train », conclut Brice Rabaste, le maire (LR).
Laser game dans les ateliers, démonstrations et baptêmes de conduite sur engins de chantier étaient proposés gratuitement par l’entreprise Travaux du Sud-Ouest.
L’entreprise Travaux du Sud-Ouest (TSO) organisait ce dimanche la Railway Factory, des portes ouvertes dans le cadre d’un week-end destiné au ferroviaire à Chelles. La filiale du groupe de travaux publics Nouvelles générations d’entrepreneurs (NGE) est spécialisée dans la pose et l’entretien des voies ferrées.
Petits et grands pouvaient tester d’imposantes machines transportées spécialement pour l’occasion. Jacques, retraité cheminot d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), voulait tester le baptême de conduite en locotracteur.« TSO était déjà là lorsque je travaillais à la SNCF. Je n’avais jamais vu de près la bourreuse (NDLR : une imposante machine qui sert à lever et dresser les voies) en raison des conditions de sécurité des chantiers », indique-t-il.
Il était aussi possible de monter dans la nacelle caténaire à 10 m de haut ou de faire un laser game gratuit dans les ateliers de TSO. Elodie est venue de Pontault-Combault avec ses deux garçons. « Les petits aiment les trains. C’est une bonne chose que les sites industriels ouvrent leurs portes », estime la maman.
TSO a comme clients la SNCF et la RATP et a gagné récemment le premier lot de la ligne 16 du Grand Paris Express en groupement avec Eiffage. « Nous nous diversifions dans le marché urbain car de plus en plus d’agglomérations construisent un tramway. C’est un levier à l’international », poursuit Halinh Tran Bréchot.
Parallèlement, se déroulait l’exposition de modélisme ferroviaire du Rail club du Pays de Meaux avec une cinquantaine d’exposants et près de 1 150 visiteurs samedi. Une navette mise à disposition par l’Association pour le musée des transports urbains, interurbains et ruraux (Amtuir) desservait tous les sites, avec arrêt… à la gare de Chelles.
« Les ateliers de TSO ont un accès direct au réseau ferré national. Il y avait 3 500 habitants à Chelles en 1900. La ville s’est développée grâce à l’arrivée du train », conclut Brice Rabaste, le maire (LR). Chelles, ce dimanche. L’entreprise TSO organisait des portes ouvertes pour le grand public avec au programme un tour de locotracteur. LP/Julie Olagnol